Les premières lignes du poème écrites par Charles Leconte de Lisle et publié en 1862 (version recueil et plus précisément en 1858 dans la Revue Contemporaine) :
Le Bernica
Perdu sur la montagne, entre deux parois hautes,
Il est un lieu sauvage, au rêve hospitalier,
Qui, dès le premier jour, n’a connu que peu d’hôtes ;
Le bruit n’y monte pas de la mer sur les côtes,
Ni la rumeur de l’homme : on y peut oublier.
La liane y suspend dans l’air ses belles cloches
Où les frelons, gorgés de miel, dorment blottis ;
Un rideau d’aloès en défend les approches ;
Et l’eau vive qui germe aux fissures des roches
Y fait tinter l’écho de son clair cliquetis.
…..(pour respecter les droits d’auteur)
Un autre écrivain célèbre (une femme) a mentionné Le Bernica dans l’un de ses ouvrages : Indiana de George Sand publié en 1832.